Favoriser la biodiversité ne concerne pas seulement les grands espaces. La nature de proximité a souvent besoin qu'on lui donne un petit coup de pouce. Voici quelques exemples:

Les Restos du Cœur

Le nourrissage hivernal

Vous pouvez venir en aide à nos amis ailés des jardins, en leur installant des mangeoires et des abreuvoirs.

L'aide au logement

Ils ont besoin de vous !

Accédez à différentes fiches de synthèse présentant 18 espèces d'oiseaux que vous pouvez aider près de chez vous.

Nichoirs multispécifiques

Notre mode de vie et la maison de maintenant ont beaucoup changé ! Les fissures et les trous dans les façades des maisons sont systématiquement bouchés

Nichoirs et abris à insectes

Le petit monde fascinant des insectes, maillon indispensable de l'équilibre écologique du Refuge LPO, se doit donc d'y être favorisé.

Chevêche d'Athéna

D’une taille de 20 cm pour une envergure de 40 à 50 cm, la chevêche fait partie des petites chouettes.

Martinets et hirondelles.

 

Effraie des clochers

L’Effraie des clochers connait un déclin lent mais continu et donc inquiétant.

D'autres exemples de mesures favorables à la biodiversité

Plantes et biodiversité

Aménager son jardin ou un espace public passe, entre autres, par le maintien de plantes favorables à la biodiversité

L'eau et les oiseaux

L'installation d'abreuvoirs et de baignoires dans votre Refuge LPO le rendra d'autant plus attrayant.

Concevoir un point d'eau

Tout amoureux des oiseaux qui se respecte et qui possède un jardin cherchera un jour ou l'autre à proposer à ses hôtes ailés un point d'eau.

Un auxiliaire du jardinier

On ne présente plus le hérisson, ce sympathique animal au dos hérissé de piquants qui s'aventure tout près de nos habitations.

En ville ou à la campagne, la cohabitation est parfois compliquée entre faune et humains. Salissures, odeurs, regroupements bruyants, peurs, phobies, pièges mortels involontaires sont autant de cas de figures qu’il faut pouvoir gérer et traiter.

La LPO propose, bien entendu des solutions douces et respectueuses des animaux qui en sont la cause ou qui en sont victimes.

Cohabitation avec la faune

Collisions et baies vitrées

Chaque année, des milliers d’oiseaux se tuent après avoir heurté une vitre. Ce phénomène est loin d’être anecdotique et il fait partie des premières causes de mortalité recensées dans notre pays. Il existe des solutions pour limiter cet impact lié aux constructions humaines.

Étourneaux et corvidés

En ville, les personnes vivant à proximité de grands regroupements d’oiseaux se plaignent du bruit (colonies de corbeaux freux par exemple) ou de la saleté liée aux fientes (dortoirs d’étourneaux et de corbeaux freux en priorité).

Les pigeons de ville

Les pigeons bisets « urbains » sont des descendants de nos pigeons domestiques. Ils se sont principalement installés dans nos métropoles car ils trouvent de la nourriture à profusion. Ils se reproduisent toute l’année, même en hiver. Ce ne sont pas des espèces sauvages ni des espèces domestiques, leur statut est donc flou.

Les salissures d’hirondelles

Tous les ans, de nombreux appels nous signalent des destructions de nids d’hirondelles. C’est un acte illégal et passible d’une amende allant jusqu’à 9000 euros.

SOS chauves-souris

Plus de 20 espèces de chiroptères sont présentes dans notre région. La plupart sont arboricoles mais certaines affectionnent particulièrement les habitations : coins de toit de maisons neuves, granges, combles, caves, fissures murales… La cohabitation avec les chauves-souris dans nos habitations est parfois difficile.