Centre de soins pour la faune sauvage le plus proche.

Vous venez de découvrir un mammifère ou un oiseau supposé blessé ou en détresse… Avant toute intervention, appelez le Centre de soins pour la faune sauvage le plus proche de chez-vous qui validera avec vous la nécessité d’une prise en charge, vous donnera des consignes pour vous protéger et pour protéger l’animal et vous donnera des conseils pour réaliser les premiers soins et/ou le nourrissage le temps de son arrivée au centre.
Les centres de soins pour la faune sauvage du Grand-Est
Si vous n’arrivez pas à joindre le centre, vous pouvez suivre les premiers gestes présentés sur ces pages et contacter le vétérinaire le plus proche de chez vous. Celui-ci pourra faire un diagnostic et les premiers soins avant un transfert au centre. Ce service rendu à la faune en détresse est gratuit car cela concerne de la faune sauvage et non domestique.
Animal sauvage blessé, que faire ?
Présence de sang, aile pendante, patte "traînante", animal adulte qui ne fuit pas... Tous ces signes sont autant de symptômes alarmants quant à l'état de santé de l'animal que vous venez de découvrir.
Pour autant, la prise en charge, bien que partant d'une bonne attention, doit respecter quelques règles, autant pour la sécurité du découvreur que pour la survie de l'animal : dans tous les cas, ne prenez pas de risque pour vous et ne vous improvisez pas soigneur.
Gardez à l'esprit qu'un animal blessé peut être dangereux, ne le sous-estimez pas.
Comment l'attraper ?
Oiseaux :
Le recouvrir d'une couverture ou d'une veste avant de le prendre délicatement. Suivant son espèce, il est plus ou moins dangereux pour l'homme : Attention aux serres des rapaces et au bec des échassiers ! Pour ces derniers, penser à maintenir soit les pattes, soit la tête fermement avec une main et prendre l'animal de l'autre.


Les serres des rapaces peuvent causer de profondes blessures si aucune précaution n'est prise.
Mammifères :
Ne jamais manipuler un animal à mains nues ! En cas de morsure ou de griffure, il est judicieux de se rendre au centre hospitalier le plus proche en expliquant votre situation.
Comme pour les oiseaux, la capture des petits mammifères (chauves-souris, hérissons...) se fait donc avec des gants et par l'intermédiaire d'un linge (attention aux risques d'étouffement).

Concernant les gros mammifères (chevreuil blessé au bord d'une route par exemple), la vigilance doit être extrême. Les réflexes de défense de ces animaux paniqués peuvent être très violents et mettre sa vie en danger pour essayer de les sauver n'est pas une solution !
Vous pouvez dans ce cas, en plus du Centre de Sauvegarde, prévenir les autorités de l'OFB (Office Français de la Biodiversité) qui vous orienteront dans ces situations. Plus d'informations sur le site de l'OFB.
La contention :
Afin que le trajet de l'animal (oiseau ou mammifère) depuis son lieu de découverte jusqu'au Centre de Sauvegarde se fasse dans les meilleures conditions, il y a là aussi quelques règles à respecter :
- Toujours placer l'animal dans une caisse de transport ou dans un carton adapté à sa taille et solidement fermé par du scotch ;
- Quelques trous percés à l'aide d'un stylo ou autre petit objet sont suffisants pour sa respiration, éviter absolument les gros trous par lesquels peuvent passer les serres, les griffes, le bec... NE JAMAIS UTILISER DE CAGE, les oiseaux risquant de s'y endommager les ailes ;
- Le fond du carton sera recouvert d'un journal ou d'un linge pour assurer le maintien de l'animal (éviter les tissus qui s'effilochent et se prennent dans les griffes, ainsi que les matières risquant d'être ingérées comme le coton) ;
- Ne placer aucune nourriture ou eau dans le carton ;
- Ne pas exposer le carton en plein soleil ou derrière des vitres lors de fortes chaleurs.
A éviter absolument :
En croyant bien faire, il arrive souvent que l'on se trompe et que notre comportement soit fatal à l'animal que nous voulions sauver.... Quelques principes de base :
- Ne jamais nourrir un animal, surtout pas de lait aux hérissons et jeunes animaux, il est mortel pour eux dans bien des cas ;
- Ne pas faire boire un oiseau ou le forcer à manger. Une mauvaise déglutition peut entraîner un étouffement ;
- Ne pas exposer un animal à de forts chocs thermiques ou à des courants d'air ;
- Ne pas "l'exposer" et le montrer : le stress peut être mortel dans certains cas. Le laisser AU CALME dans un carton, dans un endroit sec ;
- Ne pas essayer de réparer soi-même des lésions : un bandage mal fait peut causer des blessures irréparables et les pansements sont à proscrire (risque d'infection, arrachage des poils ou des plumes...).
Cas particuliers :
Certains animaux demandent un traitement spécifique. En particulier :
LA FAUNE SAUVAGE ET LA LOI
Le transport et la détention d'espèces protégées sont réglementés et les infractions punies par la loi.
Néanmoins, une tolérance est accordée dans le cas d'un transfert vers un Centre de Sauvegarde, à condition de s'y rendre "dans les plus brefs délais et par le chemin le plus direct".
Afin de pouvoir vous couvrir en cas de problème avec les autorités, le Centre de Sauvegarde doit systématiquement être prévenu de votre arrivée.
La détention des animaux sauvages en captivité est interdite sans autorisation.
N'hésitez pas à contacter le Centre de Sauvegarde ou l'OFB de votre département pour plus de
renseignements.
En respectant les règles de sécurité, les mesures de contention et en prévenant le plus rapidement possible le Centre de Sauvegarde, vous aurez agi de la meilleure façon qui soit et vous augmenterez indéniablement les chances de survie de l'animal que vous avez généreusement pris en charge. Merci !
Recueillir une chauve-souris
Deux cas sont possibles lors de la découverte d'une chauve-souris : il peut s'agir soit d'une chauve-souris adulte blessée qui ne peut plus s'envoler, soit d'un jeune tombé d'une colonie et qui ne sait pas voler.
Cas d'une chauve-souris adulte blessée :
Une chauve-souris adulte se reconnaît par la présence d'une belle fourrure épaisse. De septembre à mi-juin, il est fort probable que ce soit un adulte ou un jeune de l'année en âge de voler correctement.

Avant d'attraper l'animal blessé, préparer une boite en carton (style boîte à chaussures). Percer la boîte de petits trous d'une taille inférieure à 5 mm pour que la chauve-souris puisse respirer. Attention, si les trous sont trop gros, la chauve-souris risque de partir. Dans la boîte, mettre un chiffon en boule pour qu'elle puisse s'accrocher dessus ou se cacher à l'intérieur. Important : il faut également mettre un couvercle de pot de confiture rempli d'eau (si le carton ne doit pas être déplacé). La chauve-souris, comme la plupart des mammifères, a besoin de boire régulièrement.
Placer également une bouillotte dans le carton, afin de maintenir l'animal au chaud.
La récupération de l'animal blessé se fait avec un gant ou une serviette. La chauve-souris est inoffensive mais si vous l'attrapez, elle essaiera sûrement de mordre pour se défendre. Une fois l'animal capturé et placé dans la boite, il faut veiller à bien fermer le couvercle et placer la boite dans un endroit calme.
Cas d'un bébé chauve-souris :
Entre mi-juin et mi-août, il est possible de trouver des bébés chauves-souris. Ils sont en général dépourvus de poils ou arborent un duvet plutôt sombre.
Le cas des bébés chauves-souris est complexe. Seule sa mère est capable de l'initier efficacement au vol et à la chasse. La récupération d'un petit se fera donc dans le cas unique où la colonie n'a pu être localisée. En effet, il est possible que le jeune soit tombé de la colonie qui se trouve dans les parages immédiats (généralement un rayon de 15m).
Recherchez la colonie :
En ville, regarder la façade et repérer les gîtes potentiels : derrière des volets, sous les tuiles de la toiture de la terrasse, au niveau des génoises, dans la fissure d'une poutre ou d'un mur, dans le joint de dilatation du bâtiment et tout autre interstice. Regardez bien si vous ne voyez pas des petites crottes noires sur le mur ou par terre. Les crottes de chauves-souris sont grosses comme un grain de riz. En milieu rural, il faut inspecter les édifices bâtis, les vieux ponts, les arbres...
Les cris sociaux de certaines espèces sont bien audibles, aussi écoutez bien si vous n'entendez pas des petits cris stridents, signe que la colonie n'est pas loin.
Si vous localisez la colonie :
C'est le cas où le jeune aura les plus grandes chances de survie. En fonction de là où il se trouve, il faut le rapprocher de la colonie. Ne jamais remettre le jeune dans la colonie, votre présence risquerait de faire fuir les chauves-souris. Si les femelles sont derrière un volet, remettez le jeune dessous (de 50 cm à 2 m). Eloignez-vous et observez de loin. Le jeune devrait remonter, pousser des petits cris, et sa mère devrait sortir pour venir le chercher.
Si vous ne localisez pas la colonie, appelez rapidement le Centre de Sauvegarde et évitez surtout de nourrir vous-même la petite chauve-souris.
LA FAUNE SAUVAGE ET LA LOI
La détention des animaux sauvages en captivité est interdite sans autorisation.
N'hésitez pas à contacter le Centre de Sauvegarde ou l'OFB de votre département pour plus de
renseignements.
En respectant les règles de sécurité, les mesures de contention et en prévenant le plus rapidement possible le Centre de Sauvegarde, vous aurez agi de la meilleure façon qui soit et vous augmenterez indéniablement les chances de survie de l'animal que vous avez généreusement pris en charge.... Merci !
Soins aux jeunes mammifères
Reconnaître quand un jeune mammifère a besoin d'être recueilli
Voici quelques situations au cours desquelles un jeune mammifère a besoin d'aide :
Que faire ?
- Installez le jeune mammifère dans un carton ou dans une caisse de transport pour animaux domestiques ;
- Protégez-le des mouches à l'aide d'un drap déposé sur le carton ou autour de la caisse ;
- Maintenez-le au chaud (entre 25°C et 28°C) à l'aide d'une bouillotte si besoin ;
- Contactez rapidement le Centre de Sauvegarde de la faune sauvage.

ATTENTION !
Ne tentez pas de l'alimenter avant d'avoir eu les conseils du Centre de Sauvegarde.
Ne donnez jamais de lait de vache à un jeune mammifère sauvage.
Ne tentez en aucun cas d'élever un jeune mammifère sauvage chez vous, vous diminueriez ses chances de survie.
LA FAUNE SAUVAGE ET LA LOI
La détention des animaux sauvages en captivité est interdite sans autorisation.
N'hésitez pas à contacter le centre de sauvegarde ou l'OFB de votre département pour plus de
renseignements.
En respectant les règles de sécurité, les mesures de contention et en prévenant le plus rapidement possible le Centre de Sauvegarde, vous aurez agi de la meilleure façon qui soit et vous augmenterez indéniablement les chances de survie de l'animal que vous avez généreusement pris en charge.... Merci !
Soigner un oisillon
Il est fréquent de trouver dans son jardin un oisillon qui peut sembler en difficulté.
Dans tous les cas, contacter le Centre de Sauvegarde qui vous donnera des conseils adaptés à votre situation.

L'oisillon est emplumé, se tient debout sur ses pattes, se déplace et n'est pas blessé
Dans ce cas, il est préférable de le laisser sur place et de veiller à le protéger des animaux domestiques. Il est possible de déplacer l'oisillon à l'abri des dangers, une légère manipulation n'entraîne pas le rejet par les parents.
L'oisillon est très jeune avec peu ou pas de plumes.
L'oisillon devrait se trouver dans son nid. Sa présence au sol n'est pas normale (chute, destruction du nid...). L'idéal est de le replacer en hauteur, dans son nid si possible ou dans un nid artificiel et de surveiller la prise en charge de l'oisillon par les parents.
Si le retour des parents n'a pas lieu, une prise en charge est nécessaire.
L'oisillon est blessé (aile pendante, sang, faiblesse...)
Une prise en charge est nécessaire.
Dans ce cas, installez l'oisillon dans une boîte en carton (type boîte à chaussures) recouvert de papier essuie-tout (ne pas utiliser de tissu car l'oisillon risquerait de s'emmêler les pattes et se blesser). Placez l'oisillon dans une pièce au calme, à l'abri des animaux domestiques et à une température avoisinant les 26°C (bouillote si besoin).
Avant de nourrir et d'hydrater l'oisillon, contacter le Centre de Sauvegarde pour obtenir les bons conseils.
Certaines espèces sont protégées par la loi et leur détention en captivité est interdite sans autorisation.
N'oubliez pas que l'idéal est l'élevage naturel par les parents. Élever un oisillon demande beaucoup de temps, de connaissances sur l'espèce et le suivi d'un protocole particulier afin que l'oiseau ne s'imprègne pas de l'homme et puisse apprendre à se débrouiller seul dans la nature.
LA FAUNE SAUVAGE ET LA LOI
La détention des animaux sauvages en captivité est interdite sans autorisation.
N'hésitez pas à contacter le Centre de Sauvegarde ou l'OFB de votre département pour plus de renseignements.
En respectant les règles de sécurité, les mesures de contention et en prévenant le plus rapidement possible le Centre de Sauvegarde, vous aurez agi de la meilleure façon qui soit et vous augmenterez indéniablement les chances de survie de l'animal que vous avez généreusement pris en charge.... Merci !
Recueillir un martinet
Le Martinet trouvé au sol : faut-il lui venir en aide ?
Oui ! L'idée selon laquelle le Martinet, une fois au sol, ne peut s'envoler, est parfois fausse.
État de faiblesse et d'épuisement, victime d'une collision, forte chaleur, absence des parents sont autant de raisons pour leur venir en aide.
Un examen approfondi de l'oiseau est nécessaire afin de déterminer les causes de sa chute et de lui apporter une aide efficace.

Les questions à se poser :
S'agit-il d'un jeune ou d'un adulte ?
Un Martinet adulte est entièrement brun sauf la gorge qui est claire. Un jeune de l'année a des plumes claires sur la tête.
Le Martinet est-il apte au vol ?
Un Martinet est capable de s'envoler seulement si ses ailes dépassent la queue de plus de 1,5 cm.
Le Martinet fait-il un poids normal ?
Un jeune doit peser entre 40 et 45 g à l'envol, un adulte entre 35 et 45 g.
Le Martinet présente-t-il les symptômes d'une détresse ?
Plumes hérissées, tremblement, maigreur prononcée, présence de sang, aile pendante, détresse respiratoire...
Si le Martinet est apte au vol, fait le bon poids et ne présente pas de symptômes de détresse, on peut tenter de le relâcher (dans un espace dégagé ne présentant pas de danger - prédateurs, arbres, mur... – et par beau temps) en le posant sur la paume de la main, élevée vers le ciel. Le Martinet doit s'élancer seul.
Sinon, placer l'oiseau dans un carton type boîte à chaussures dont le fond sera recouvert de papier essuie-tout ou de journaux et contactez le Centre de Sauvegarde.
Dans tous les cas :
Avant d'entreprendre quoique ce soit, contactez le Centre de Sauvegarde qui vous prodiguera des conseils adaptés à la situation.
Ne lancez pas un Martinet en l'air ;
Ne nourrissez pas un Martinet avec autre chose que des insectes ;
Ne placez pas un Martinet dans une cage en grillage où il pourrait s'abîmer gravement les plumes.
LA FAUNE SAUVAGE ET LA LOI
La détention des animaux sauvages en captivité est interdite sans autorisation.
N'hésitez pas à contacter le centre de sauvegarde ou l'OFB de votre département pour plus de
renseignements.
En respectant les règles de sécurité, les mesures de contention et en prévenant le plus rapidement possible le Centre de Sauvegarde, vous aurez agi de la meilleure façon qui soit et vous augmenterez indéniablement les chances de survie de l'animal que vous avez généreusement pris en charge.... Merci !
Abandonné ou pas ?
Les cas "trompeurs" :
Lorsque le printemps revient, la période de reproduction pour de nombreuses espèces est sur le point de commencer... C'est aussi la période où les Centres de Sauvegarde enregistrent leur plus fort taux d'accueil : les promeneurs assidus augmentent leur "chance" de rencontrer un animal en difficulté en passant plus de temps dans les bois ou sur les routes.... Il est peut-être bon de rappeler ici quelques règles, un animal nous paraissant mal en point ne l'est peut-être pas tant que ça !
Le faon "abandonné" :
Laissez-le tranquille ! Sa mère n'est pas loin.... Au début de sa vie, le jeune faon, se fatiguant très vite et ne pouvant pas la suivre, l'attend patiemment. De plus, cette méthode dite de "camouflage" des petits sert à leur sécurité et est pratiquée par d'autres espèces, notamment les lièvres... Les emmener loin de leur territoire en pensant bien faire est une grave erreur.
De même, rester juste à côté pour "vérifier que sa mère revient" empêchera cette dernière de le faire. Sentant votre présence, elle ne se manifestera pas. Les faons sont nourris à horaires réguliers et la biche sait très bien quand revenir.

Le petit chat, écureuil ou renard "orphelin" :
Il peut arriver qu'un chaton de Chat forestier, un jeune écureuil ou un renardeau soit aperçu dans un fossé ou dans les bois. Si son comportement n'est pas inquiétant (animal affaibli), loin de céder à la tentation d'aider un petit animal qui vous semble abandonné, passez votre chemin, sa mère n'est pas loin...

Cependant, on ne peut pas faire une généralité de ces situations. Si le doute subsiste quant à une potentielle détresse de l'animal découvert, n'hésitez pas à contacter un Centre de Sauvegarde, où des professionnels vous procureront les conseils adaptés à votre situation.
La petite chouette "tombée du nid" :
Si vous trouvez une jeune chouette au plumage hirsute et duveteux au sol, remettez-la simplement sur une branche hors de portée des prédateurs. Éventuellement, vous pouvez confectionner un « panier » ou placer l'oiseau dans une cagette.
Certains oiseaux (parmi lesquels la chouette Hulotte, victime la plus fréquente de "ramassage" par des particuliers) sortent très jeunes du nid, alors qu'ils ne savent pas encore voler et s'entraînent de branche en branche. Les parents continuent de les nourrir et ils ne sont pas abandonnés.

Le mieux à faire dans bien des cas est donc de passer son chemin après avoir pris soin de percher la petite maladroite (votre "odeur" ne gênera en rien ses parents). Si vous avez un doute sur l'état de santé de l'animal, n'hésitez pas à appeler le Centre de Sauvegarde.
Repasser 24h plus tard pour s'assurer du retour des parents permet de faire le point sur la situation. Soit les parents sont intervenus et le poussin n'est plus en danger, soit l'oiseau est toujours au même endroit et appelle désespérément. Dans ce deuxième cas, placez l'oiseau dans un carton et contactez le Centre de Sauvegarde.

Liens utiles et contacts
SOS FAUNE SAUVAGE en Grand-Est.
Centre de soins pour la faune sauvage du Sud Champagne (Fermé temporairement)
Adresse:
Domaine de Saint Victor
10200 SOULAINES-DHUYS FRANCE
Téléphone: 03 25 92 56 02
https://cpiesudchampagne.fr/le-centre-de-soins/
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Centre de soins de la faune sauvage de l'Argonne
RD946, Bois de Roucy 08250 Olizy-Primat
Avant de vous déplacer, contactez-nous au 07 64 39 56 40.
Le Centre de Soins de la Faune Sauvage de l'Argonne est ouvert du lundi au dimanche de 8h30 à 16h30.
Le mieux est de pouvoir nous apporter l'animal avant 15h30 pour faciliter sa prise en charge.
Le Centre de Soins se trouve dans le Parc Argonne Découverte.
https://parc-argonne-decouverte.fr/
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Centre de sauvegarde de la Faune Lorraine CSFL LORRAINE
CSFL Site du Jardin Nature Route D130 54910 VALLEROY
Nous contacter au 09 70 57 30 30
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Liens utiles
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|
Union Française des Centres de Sauvegarde : http://uncs.chez.com/
Les Centres de Sauvegarde du "quart Nord-Est" les plus proches de la Champagne-Ardenne : |
Les associations naturalistes régionales :
Cohabitation/médiation
En ville ou à la campagne, la cohabitation est parfois compliquée entre faune et humains. Salissures, odeurs, regroupements bruyants, peurs, phobies, pièges mortels involontaires sont autant de cas de figures qu’il faut pouvoir gérer et traiter.
La LPO propose, bien entendu des solutions douces et respectueuses des animaux qui en sont la cause ou qui en sont victimes.
Cohabitation/médiation
Soins aux animaux sauvages blessés
Quel promeneur n'a pas découvert un rapace sous une ligne électrique, un oiseau affaibli dans un champ ? Quel automobiliste n'a jamais percuté un rapace nocturne ébloui par ses phares ou évité de justesse un hérisson au bord de la route ? Qui n'a jamais recueilli une mésange, un passereau désorienté suite à un choc contre une baie vitrée ?
Les exemples ne manquent pas et nombreux sont ceux qui se trouvent désemparés face à un animal sauvage en détresse. Pour augmenter ses chances de survie, les bonnes intentions ne suffisent pas, il faut agir rapidement et de façon appropriée en adoptant des gestes responsables et... simples.
Sous-catégories
Cohabitation/médiation
En ville ou à la campagne, la cohabitation est parfois compliquée entre faune et humains. Salissures, odeurs, regroupements bruyants, peurs, phobies, pièges mortels involontaires sont autant de cas de figures qu’il faut pouvoir gérer et traiter.
La LPO propose, bien entendu des solutions douces et respectueuses des animaux qui en sont la cause ou qui en sont victimes.
